Die Nacht der Klänge
(la nuit des consonances | flonflons | sons |sonorités | timbres (d'après dict.leo.org))
Die Nacht der Klänge, c'est un espèce de festival de musique qui a
lieu tous les ans à l'université de Bielefeld, où pendant une soirée
il y a des groupes de musique dans tous les coins. Les artistes et les
groupes viennent plus ou moins directement de l'université ou de
Bielefeld. Y'en a pour tout les goût musicaux, et y'a même à boire et
à manger...
Je regrette de pas avoir pris mon appareil photo, parce qu'on pouvait
voir des choses pas ordinaires... Dans l'auditorium maximum (le plus
grand apmhpi...) il y avait un pianiste qui jouait sur un gros piano à
queue. C'était très classique jusqu'au moment où il s'est mis à ouvrir
le capot et à mettre des cuillers et des balles de golf /sur/ les
cordes. Forcément, après cela faisait des bruits bizarres...
Bon, il n'y avait pas que des expérimentations artistiques, il y avait
aussi des trucs plus normaux comme de la capoeira, le big band de
l'université qui jouait du Duke Ellington, et des groupes de rock...
Mention spéciale pour le groupe de rock de la faculté de chimie :
c'était une bande de quinquagénaires, dont certains avaient encore les
cheveux longs et qui chantaient /Summer of 69/ ("these were the best
days of my life") avec un fort accent germanique... Ils jouaient dans
un labo de chimie avec des solutions colorées qui bullaient et qui
fumaient sur les paillasses.
Mon préféré, ça a quand même été les trois gus qui étaient dans
l'amphi 12 et leur /Antigone : Das Groosical - "suicide is
painless"/. (si on essaye de traduire, ça fait /Antigone : la comédie
groosicale "le suicide, ça fait pas mal"/). Autant que j'ai pu en
juger, ils jouaient Antigone de Sophocle, et quand on n'est que trois,
ça oblige à faire des concessions, et de temps en temps, il y avait un
intermède musical, avec une interprétation originale d'une chanson
classique (genre /My Way/ ou les Red Hot, Cat Stevens) mais dont les
paroles avaient été retravaillées pour la circonstance (genre "Killing
me softly with his sword"). Il y avait une guitarre, un synthé et un
tam-tam. Bref... ça valait son pesant de cacahuètes, à tel point que
des fois le percussioniste rigolait trop pour souffler dans son pipeau
(vraissemblablement trouvé dans une boîte de lessive). Un grand moment
de culture internationale.
Die Nacht der Klänge, c'est un espèce de festival de musique qui a
lieu tous les ans à l'université de Bielefeld, où pendant une soirée
il y a des groupes de musique dans tous les coins. Les artistes et les
groupes viennent plus ou moins directement de l'université ou de
Bielefeld. Y'en a pour tout les goût musicaux, et y'a même à boire et
à manger...
Je regrette de pas avoir pris mon appareil photo, parce qu'on pouvait
voir des choses pas ordinaires... Dans l'auditorium maximum (le plus
grand apmhpi...) il y avait un pianiste qui jouait sur un gros piano à
queue. C'était très classique jusqu'au moment où il s'est mis à ouvrir
le capot et à mettre des cuillers et des balles de golf /sur/ les
cordes. Forcément, après cela faisait des bruits bizarres...
Bon, il n'y avait pas que des expérimentations artistiques, il y avait
aussi des trucs plus normaux comme de la capoeira, le big band de
l'université qui jouait du Duke Ellington, et des groupes de rock...
Mention spéciale pour le groupe de rock de la faculté de chimie :
c'était une bande de quinquagénaires, dont certains avaient encore les
cheveux longs et qui chantaient /Summer of 69/ ("these were the best
days of my life") avec un fort accent germanique... Ils jouaient dans
un labo de chimie avec des solutions colorées qui bullaient et qui
fumaient sur les paillasses.
Mon préféré, ça a quand même été les trois gus qui étaient dans
l'amphi 12 et leur /Antigone : Das Groosical - "suicide is
painless"/. (si on essaye de traduire, ça fait /Antigone : la comédie
groosicale "le suicide, ça fait pas mal"/). Autant que j'ai pu en
juger, ils jouaient Antigone de Sophocle, et quand on n'est que trois,
ça oblige à faire des concessions, et de temps en temps, il y avait un
intermède musical, avec une interprétation originale d'une chanson
classique (genre /My Way/ ou les Red Hot, Cat Stevens) mais dont les
paroles avaient été retravaillées pour la circonstance (genre "Killing
me softly with his sword"). Il y avait une guitarre, un synthé et un
tam-tam. Bref... ça valait son pesant de cacahuètes, à tel point que
des fois le percussioniste rigolait trop pour souffler dans son pipeau
(vraissemblablement trouvé dans une boîte de lessive). Un grand moment
de culture internationale.
1 Comments:
Comme tu es dans le bde, tu pourrais pas inviter les chimistes et les théâtreux acoustiques pour la prochaine soirée tourne-tourne du kvo ? On aurait quelquechose de bien, comme ça, ça changerait.
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