IV : Das Abendessen
(Le repas du soir)
On apprends à l'école que les allemands ne mangent qu'un seul repas chaud dans la journée, à midi. Le soir ils mangent encore leur pain (leurs brötchen) avec leurs pâtés, leurs fromages, leur salade et tout ça. Ce qui fait qu'en fait, le diner n'est pas complètement différent du petit déjeuner. Les gens chez qui j'habite (bon déjà c'est pas des vrais allemands...) ils se sont rendu compte que, même si il y a beaucoup de sortes de pain différentes et beaucoup de choses différentes à mettre sur le pain, cela ne fait qu'un nombre fini de combinaisons à tester, et puis au bout d'un moment on troune en rond.
En clair, des fois ça fait du bien de se faire une platrée de pâtes. Surtout qu'a midi les portions de la mensa sont un peu limitées. (les gens qui me cotoyent au mess savent bien que c'est toujours moi qui ai le plateau le plus rempli... et bien là ce n'est pas moi qui remplis mon plateau et donc bah, souvent il fait faim...). On se retrouve donc avec une autre quantité finie de combinaisons entre les pâtes, le riz, les oeufs, bockwürste (des saucisses), le fromage hollandais... bref, des trucs qui tiennent au ventre. J'achète mon chargement de bananes hebdomadaire, mais à chaque fois que je suis dans les supermarchés, j'oublie le miel (spéciale dédicace à Monkichi et Manzo).
Voilà bientôt la fin de ma saga sur la bouffe à Bielefeld... Je crois que j'ai atteint mon rythme de crosière et que j'ai pris mes repères dans les magasins. Je vais maintenant être tenté de procéder à des expériences exotiques : par exemple ce truc à la forme élliptique qui s'appelle "camembert français" (et qui coûte deux fois le prix du super-cheap et triangulaire Brie de la marque Ja!) ou alors tous ces truc bio, ou alors toutes ces saucisses que je ne sais pas comment on les prépare ou alors du gouda (ghouda, ghoudda ?) hollandais.
Ah oui je voulais aussi parler des biscuits Leibniz (aucun lien de parenté) qui sont les cousins germains de petits Lu. Ils ont 52 dents (vous savez les crénelures sur le bord du biscuit) c'est marqué su le paquet. Ils sont un peu plus élégants que leurs confrères nantais : ils ont une chemise en papier qui entoure la boite en carton ondulé. Au niveau du goût, on retrouve des similitudes mais ils sont plus heu... ils sont moins euh... je sais pas j'en ai pas sous la main pour conclure...
On apprends à l'école que les allemands ne mangent qu'un seul repas chaud dans la journée, à midi. Le soir ils mangent encore leur pain (leurs brötchen) avec leurs pâtés, leurs fromages, leur salade et tout ça. Ce qui fait qu'en fait, le diner n'est pas complètement différent du petit déjeuner. Les gens chez qui j'habite (bon déjà c'est pas des vrais allemands...) ils se sont rendu compte que, même si il y a beaucoup de sortes de pain différentes et beaucoup de choses différentes à mettre sur le pain, cela ne fait qu'un nombre fini de combinaisons à tester, et puis au bout d'un moment on troune en rond.
En clair, des fois ça fait du bien de se faire une platrée de pâtes. Surtout qu'a midi les portions de la mensa sont un peu limitées. (les gens qui me cotoyent au mess savent bien que c'est toujours moi qui ai le plateau le plus rempli... et bien là ce n'est pas moi qui remplis mon plateau et donc bah, souvent il fait faim...). On se retrouve donc avec une autre quantité finie de combinaisons entre les pâtes, le riz, les oeufs, bockwürste (des saucisses), le fromage hollandais... bref, des trucs qui tiennent au ventre. J'achète mon chargement de bananes hebdomadaire, mais à chaque fois que je suis dans les supermarchés, j'oublie le miel (spéciale dédicace à Monkichi et Manzo).
Voilà bientôt la fin de ma saga sur la bouffe à Bielefeld... Je crois que j'ai atteint mon rythme de crosière et que j'ai pris mes repères dans les magasins. Je vais maintenant être tenté de procéder à des expériences exotiques : par exemple ce truc à la forme élliptique qui s'appelle "camembert français" (et qui coûte deux fois le prix du super-cheap et triangulaire Brie de la marque Ja!) ou alors tous ces truc bio, ou alors toutes ces saucisses que je ne sais pas comment on les prépare ou alors du gouda (ghouda, ghoudda ?) hollandais.
Ah oui je voulais aussi parler des biscuits Leibniz (aucun lien de parenté) qui sont les cousins germains de petits Lu. Ils ont 52 dents (vous savez les crénelures sur le bord du biscuit) c'est marqué su le paquet. Ils sont un peu plus élégants que leurs confrères nantais : ils ont une chemise en papier qui entoure la boite en carton ondulé. Au niveau du goût, on retrouve des similitudes mais ils sont plus heu... ils sont moins euh... je sais pas j'en ai pas sous la main pour conclure...
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