Sunday, September 05, 2010

Nara et l'equipe de baseball de Okayama et Misao-san

Bon bah voila, depuis la derniere fois, je me suis ballade dans Nara en long, en large et en travers. J'ai aussi laisse les ryokan classes pour les auberges de jeunesse, et en fait je ne perd pas trop au change... Au lieu de prendre mon bain en vitesse pour ne pas bloquer la "salle de bain familliale", j'ai la salle de bain collective de l'auberge pour moi tout seul... je ne sais pas ou sont les touristes mais en tout cas, je suis quasiment tout seul a l'auberge...

Enfin sauf hier ou il y avait une equipe de baseball (13 -- 15 ans, plus les differents coaches et les dames qui portent les boissons et font la lessive (?) et me trouvent "kakko ii"). Bon, en tout cas les gamins de cet age, ils sont pas tres bavards...

Et sinon, je me suis refugie dans un cyber cafe parce qu'on a (enfin) eu un orage. Ce matin les gens de la mairie de Nara mettaient des feuilles d'erables rouges en plastique, pour dire que c'est l'autonme. Mais bon, depuis que je suis au Japon, je ne me souviens pas avoir eu moins de 35 degres, ce qui n'est pas vraiment un temps d'automne. Je ne pars jamais de l'hotel sans ma petite serviette autour du cou (et mon bob, bien sur), pour eponger le litre de sueur que je degage toutes les heures (et je me trimballe bien sur la meme quantite en eau ou thes sur le dos...).

Bref, gros orage juste quand je descend du bus, alors je me refugie sous un portique quelconque ou je commence a discuter avec une cycliste japonaise qui ne parle pas un mot d'anglais et qui s'avere etre Misao-san. Bon et puis comme la pluie ne s'arretait pas, on est alle boire un Yuzu-cha glace au cafe du coin... Ca fait deux semaines maintenant et j'ai quand meme de bons restes en conversation japonaise, mais je suis aussi bloque par des trucs debiles (que j'ai vraiment envie de dire en chinois).

Aller... demain je vais a Kyoto, ou je retrouverai Rozenn Keribin (quand elle sera de retour de son entretien a Oxford, souhaitez lui bonne chance, si c'est pas fait...) et la ca commencera a sentir serieusement la fin...

Friday, September 03, 2010

Kawayu Onsen

Kawayu Onsen, c'est cool. Bon et pourtant je suis parti ce matin pour rejoindre Nara, mais Kawayu onsen, c'est vraiment cool.

C'est un peu perdu dans la montagne (ce matin, il m'a fallu quatre heure de bus rien que pour arriver a la gare d'ou j'ai pris mon train). mais c'est aussi ce qui fait son charme... C'est sur le Kumano Kodo, qui est un celebre chemin de pelerinage, donc la journee , tu peux marcher dans la foret / montagne et voir des temples et le soir, tu peux te detendre dans les onsen.

Les onsen, c'est les sources thermales, pour ceux qui ne suivraient toujours pas... Bon et bah a Kawayu onsen, il y a un endroit ou le torrent au fond de la vallee fait un coude. (C'est facile, c'est juste en face de ma "pension"). A l'interieur du coude, il y a une belle plage de gallet. A l'exterieur du coude, il y a une petite falaise...


Bon et bah, si tu te creuse un trou dans la plage de galet (les buldozers font ca tres bien pour toi le matin...), l'eau chaude jaillit naturellement pour te faire un bain chaud. Ensuite tu peux aller te rafraichir dans l'eau du torrent quand tu as trop chaud. Et si tu as un peu froid, il y a des endroits dans la falaise ou l'eau chaude jaillit aussi naturellement (un papy m'a montre un coin ou il y avait un flux ininterrompu d'eau a 70 degres).

Bref... tu veux du chaud, il y en a, tu veux du froid, il y en a aussi... (le tout en regardant le soleil du soir se coucher sur la vallee, c'est assez cool...)

Sunday, August 29, 2010

Chigasaki et le mont Fuji

Or donc, apres avoir passe quelques jours chez Rozenn Keribin a Tokyo, je suis alle squatter un peu chez ma host-maman de Chigasaki (voir saison originelle de "Benoit...").

Elle a pris un petit coup de vieux (cinq ans...) mais elle est toujours aussi energique... Son mari, que je ne connaissais pas, est revenu, maintenant qu'il est a la retraite. Ils n'ont pas l'air d'avoir beaucoup de choses a se dire... (sauf pour s'engueuler, hein) mais bon ils ne devaient plus vraiment vivre ensemble depuis pas mal d'annees, puisqu'il etait souvent envoye en voyage / expat aux quatres coins du monde....

Avec moi il est un peu froid, mais cool... on discute de quand il est alle a Changchun vendre des moteurs il y a vingt ans et que la Chine n'etait pas encore officiellement ouverte... et on boit du vin (francais, bien sur... il a une collection assez impressionnante, au moins en volume...)

Oh ah... et bien sur, c'est la caricature du mec japonais : quand je me leve pour debarrasser mon assiette, il m'arrete et me dit "non, c'est bon, elle s'en occupera"


Bon... et sinon, autre fait marquant de ces derniers jours : je suis au bout d'une nuit blanche accompagnee de un peu moins de 2000 metres de deniveles (montes puis descendus entre samedi soir 19h et dimanche matin 10h). Le but de l'operation etant bien sur de voir le lever de soleil depuis le sommet du mont fuji (environ 3700m).

Bref, j'ai retrouve Rozenn a la gare de Gotemba (un bled sur la face est du mont Fuji) et apres avoir fait des provisions pour l'ascension, on est parti en bus vers le depart de la ballade : la 5eme station de subashiri (1980m, sachant de la 10eme station est au sommet (et que le sommet est un cratere...))

Au debut tout allait bien, la piste de subashiri est connue pour etre relativement peu employee, donc on avancait a notre rythme, avec une vue magnifiques sur les lumieres des villes en contrebas (et quand on est a 2500m sur le flan du mont fuji, on voit un bon paquet de villes enb contrebas) et en prime un tres joli lever de lune presque pleine...

Et la, au niveau de la 8eme station, on a rejoint une autre piste (kawaguchiko, si je ne m'abuse) beaucoup plus frequentee et la tout est devenu plus complique... (Au passage, je dois dire que c'etait pas tres malin de notre part de faire ca un weekend, mais bon...)

Bref... embouteillage sur la piste dans le frois de 2h du mat a 3000m d'altitude, quand tu ne peux pas aller a ton rythme pour te rechauffer ou pour te reposer... bref... c'etait pas tres marrant (surtout que pour ma part, j'etais pas en super forme, a force de marcher tous les jours, toute la journee, et puis bon je venais de me remettre de mon decalage horraire, mais j'encaisse encore assez mal l'alternance chaud (il fait tres chaud en ce moment) et froid climatise des trains / restaus magasins)

Bref, fatigue, altitude et froid (quand on attend le lever de soleil, il fait nuit) j'etais pas tout a fait serein la-haut... j'ai pris des photos et je suis vaguement alle voir dans le cratere, mais je n'avais qu'une envie c'etait de redescendre...

Enfin voila, l'avenir nous dira les photos valaient vraiment tous ces efforts, mais c'etait vraiment eprouvant...
(et pour l'instant, ca nous a valu un joli marque page fuji-san + momiji d'un gars de l'offic du tourisme et deux bieres offertes par le restaurant d'anguille ou on est alle a midi (avec nos T-shirt degueulasses, ils ont vite vu d'ou on venait) )

Ah oui et sinon, avant de manger on a fait un petit onsen avec vue sur le mont fuji (enfin, vue... il y avait plein de nuages dessus, comme d'hab...) et je tiens a dire ici que moi, ca ne m'a pas du impressionne...

Demain, depart de le Kansai pour un peu de culture (Ise), puis des osens, puis encore un grand peu de culture (Kyoto, Nara)

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Monday, August 23, 2010

Retour au pays du soleil levant

Le voyage commence sur le quai du RER A, ou il y avait pleins de chinois qui voulaient aller chez Mickey mais qui etaient un peu perdu... alors moi (avec mon sac de 16 kilos sur le dos, et mon petit sac par devant), je vais voir pour les aider mais bien sur, ils me sortent leurs tetes de de "ah non desole, mec, c'est cool de vouloir m'aider, mais je parle pas ta langue, alors laisse tomber". Finalement, a force de persuasion et de "bon les mecs, si vous ecoutiez ce aue je dis, vous verriez que je parle votre langue", j`arrive a comprendre la situation et a leur dire qu'ils sont sur le bon quai, mais qu`il faut prendre le deuxieme train et pas le premier. Ouf...

Bon et sinon, apres avoir sauve la situation, j'ai pas trop voulu faire ma star en chinois, parce que bon, j'etais a un contre 20, et puis bon... c'est plus facile de faire le beau quand t`es a l`autre bout du monde... hein...


Bon... d`ailleurs, je poste ca depuis le Japon (depuis chez Rozenn Keribin tres exactement). Le voyage c'est bien passe, sauf qu`a mon escale a Canton, il n`ont pas fait suivre mes bagages... mais bon... ca m`a force a faire une grasse mat` ce matin et mon sac a ete livre pendant mon petit dej, alors ca m` pas fait perdre trop de temps....

A Ikebukuro, pendant que j`attendais Rozenn, qui venait me chercher, il y a une espece de Oyaji (un salaryman (donc un mec qui bosse dans un bureau) qui etait tout bourre et avait un verre de sochu a la main) qui ne parlait pas du tout anglais, voulait vraiment m'inviter a manger des sushi. Bon, moi, j'etait a plus de 36 heures de voyage alors j'ai rassemble mes dernieres forces poour lui dire que non, j`avais un rendez-vous et que j`etais fatigue parce aue je venais d`arriver... J`ai p`tet rate une soiree sympa, mais bon, il y en aura d`autres...

Monday, November 03, 2008

De Ouro Preto à Mariana (la ville) avec Nathalie et Washington (pas la ville)

On va faire bref...

Arrivé à Ouro Preto (charmante ville coloniale avec plein d´églises baroques) dans la petite montagne au dessus de Rio. Rencotré Nathalie la suissesse italienne (qui parle bien francais pour avoir habité un an à Paris) qui baroude et travaille au Brésil depuis un an... Elle bosse dans le tourisme (a une petite agence de voayeg sur internet) et c´est assez cool d´avoir un guide lusophone avec soi.

On est allé dans l´auberge de jeunesse de Washington (y´a plein de brésiliens avec des noms douteux de pseudo-présidents américains, Erlington, Wrelington, Jefferson.... voire Euclides ou Diogenes) un brésilien qui a vécu 8 ans en espagne avant de revenir fonder sa petite pousada (auberge, donc). Il apprends le français et enseigne les percussions (j´ai fait un cours théorique et pratique avec le mouvement du pouce et de la main qui engendre à la fois le rythme de la samba, la salsa et du cha-cha-cha).

Dimanche on a pris le train à vapeur vers Mariana (autre ville avec des églises baroques). Jamais été autant à la messe... Chorale de Bauru qui fait des ''Kyrie Eleison'' en live... impressionant. Lundi tout est fermé (eglise, musées, et même parc naturels). On est allé se balader à Lavras Novas, mais comme il n´y a pas de bus on a tenté le stop... et personne ne voulait de nous. alors on est allé sur un chemin dans la nature... et pour par refaire le grand tour on a coupé à travers champs, mais le chemin était parfois plus vraiment officiel... On est retourné sur la route en passant par une ferme... avec un fermier mort de rire de voir deux gringos (dont une qui avait péur des vaches...) assez suants sortir de nulle part...

Bonn bah demain soir je retourne à Sao Paulo. Sinon lá je vais faire mon ingénieur informaticien pour sauver son ordinateur portable qui fait des bips au démarrages (je le savais en théorie, mais j´avais jamais vu en vrais les bips au démarage qui indiquent une erreur matérielle...) et ensuite on a bien mérité ''uma cerveja bem gelada''

Saturday, November 01, 2008

"Tous les matins dès le lever, la Carioca me fait bouger"

Donc voilà... après quatre jours à Rio, je prends ce soir un bus pour les villes coloniales de Minas Gerais (un peu vers le nord). J´étais resté le samedi pour passer un jour de weekend à la plage mais en fait il pleut aujourd´hui... donc je suis allé au jardin botanique et ensuite j´ai fait le tour du lac. Hier j´ai fait un tour dans le centre et je suis allé faire un tour dans le centre puis je suis monté voir le Cristo Redentor, juste avant que des gros nuages ne bouchent complètement la vue... Il ne faut pas le dire à Mariana, mais j´aime bien Rio...

En fait, tous les brésiliens que j´ai connu, étaient de Sao Paulo et donc ils m´avaient servi la propagande anti-carioca habituelle. (ha oui... carioca, c´est l´adjectif qui décrit les habitants de Rio de Janeiro). "Tu verras, Rio, c´est dangereux, il y a des favelas juste dans la ville, il faut faire attention sinon tu vas te faire braquer...". La famille de Mariana et mon guide y sont allés tellement fort que depuis le début, à chaque fois que je suis tout seul dans la rue, je ne peux pas m´empecher de penser "Ça y est, mec, c´est la fin... tu vas te faire braquer par un clochard cocainomane de 17 ans avec une machette*, et en plus tu ne sauras même pas l´insulter de manère suffisament fleurie dans une langue qu´il comprend... c´est la louse mec..."

Bon, en fait je crois que je ne me suis jamais retrouvé tout seul dans la rue à Rio, tout simplement parce qu´il y a toujours plein de gens dans cette ville ! Bien sur il y a des favela, mais en superficie il y a surtout des parc nationaux, alors les petits bouts de vraie ville sont coincés entre la plage et la colline (genre pain de sucre en basalt, plus ou moins coiffé de végétation native). Et puis bonm je pensais que les cariocas étaient tous des blanleurs qui vivaient en short et à la plage, pendant que les paulistains gagnaient l´argent pour faire tourner le pays, mais en fait il y a un centre genre "central business district" avec plein de gros building. C´est beaucoup plus vivant que Sampa (le petit nom de Sao Paulo), où il y a quelques très très grosses avenues et sinon tout le monde prends sa bagnole sur les petites routes défoncées, ce qui fait qu´il n´y a pas beaucoup de gens qui marchent dans les rues... (bon j´arrête sinon Mariana ne me laissera pas rentrer chez elle...)

Dans le centre il y a aussi la "catédrale métropolitaine". Alors, ça ressemble à une église, il y a le siège de l´évêque et tout ce qu´il faut dedans, mais de l éxtérieur (et aussi de l´intérieur, si tu enlève les vitraux) ça ressemble furieusement à une tour aéroréfrigérante de centrale nucléaire. (un gros cylindre qui se resserre vers le haut). Avec les vitraux style "moderne" et le crucifix géant genre totem idien de série B, ça donne une impression vraiment bizarre, surtout qu´au moment où j´y était, ils passaient des chants grégoriens... On se serait cru dans un film punk post-apocalytique...

Bon et sinon les gens me repèrent plus facilement comme touriste (mais bon, avec un short et un bob sur la tête (seulement le bob sur la tête, pas le short...) et des coups de soleil sur le nez, dans un lieu touristique et à une heure où les honetes gens travaillent, j´ai des circonstance atténuantes...). Hier soir cependant, un couple de touriste afro-américains a cru que j´étais un local et ils m´on demandé des trucs. (ce qui prouve que je dois avoir vraiment une tête de local sympa). Lui, il m´a demandé directement en anglais si je savais où il y avait un supermarché dans le coin. Elle, elle me parlait en pseudo-portugais (avec un accent ricain pire que celui de Nat King Cole quand il chante en espagnol) "Siupaw-marcadow... Gwandé..." et elle a continué pendant une minute, et elle ne m´écoutais pas dire que je parlais anglais et que j´étais pas brésilien...

Bon allez... je vais remonter encore une fois les plages d´Ipanema et de Copacabana pour tuer le temps en attendant mon bus... Je pars de Rio sans avoir vu le carnaval (juste entre aperçu le sambodromo) mais ce n´est pas grave, car comme le chante Chico Buarque :

Tem mais samba no homem que trabalha
Tem mais samba no som que vem da rua

(Il y a plus de samba chez l'homme qui travaille
Il y a plus de samba dans le son qui vient de la rue)

(* j´ai vu à Sao Paulo, dans le centre, des gamins de 12 ans qui reniflaient de la colle dans des sacs en plastique, j´ai aussi vu à Florianopolis, un mec de 15 qui jonglait avec une machette dans la rue pour epater ses potes, mais bon la seule fois ou je me suis fait emmerder pour mon argent (à part la fois oú on était avec Mariana le soir dans le parc d´Ibirapuera et où un clochard a commencé à faire des bruits bizarres quand je lui ai dit que je comprennais pas le portugais) c´est des petits blacks sur la plage de Copacabana qui voulaient "un real pour manger")

Wednesday, October 29, 2008

Comment manger une noix de coco sur la plage de Copacabana ?

(Pour fêter mon arrivée à Rio, voici les instructions pour une pause rafraîchissement...)

C´est facile...

Tout d´abord, il faut trouver une noix de coco. Il y en a peut-être sur les arbres qui bordent la plage, mais le plus pratique, c´est d´aller l´acheter à un des nombreux stands, qui eux aussi bordent la plage. En plus, elle sera fraîche : juste sortie du frigo.

Demander au gars "Oi tudo bom? Uma agua de coco, por favor". (on peut aussi juste montrer une noix de coco en prennant son air de touriste qui comprend rien). Tendre 2 reais au gars du stand (1 euro, c´est environ 2,70 reais) en levant le pouce (ça veut dire "tudo bom" (tout va bien)) et en disant "obrigado".

Le gars, il sort la noix de coco du frigo (alors c´est pas des noix de coco comme on en trouve dans les magasins chez nous, ou plutôt, c´est les mêmes mais elles ont gardé une épaisse couche de peau verte au dessus de la coquille de noix marron. Elle est pleine de lait (mais vraiment pleine, il y a juste une petite bulle d´air pour faire glouglou quand on secoue) et la chair (le truc blanc) est plus mou). Donc le gars sort la noix du frigo et donne quelques coups de machette dedans : il lui fait un fond plat pour qu´elle tienne debout toute seule et de l´autre côté, il fait un trou pour faire passer une paille.

Ensuite, il faut aller sous un parasol et boire le lait de coco en regardant la mer ou la ville ou les gamins qui jouent au foot sur la plage ou les filles qui jouent au beach-volley... Le lait de coco,il est très frais et légerement sucré, juste ce qu´il faut pour être désaltérant (et quand ça fait deux heures que tu marches sur la plage, c´est ce qu´il te faut...)

Ta noix est vide ? c´est dommage, mais d´autres surprises t´attendent... Vas revoir le gars du stand, et la tu lui fait signe de couper en deux la noix (mon portugais ne va pas jusque là...). Il redonne quelques coups de machette de telle sorte que tu as plusieurs quartiers de noix ouverte et surtout un morceau de peau verte fin mais néanmois assez rigide. Le morceau de peau rigide va servir de racloir pour gratter (et manger) la chair. Et c´est super bon.

Voilà, là c´est vraiment fini...